le 20/02/2004
Cette interdiction demandée par Porsche est motivée par un acte de contrefaçon et de concurrence déloyale. Elle est assortie d'une astreinte de 5000 euros par infraction constatée dans un délai de trois mois. Le tribunal condamne en outre PGO à verser une provision de 100 000 euros à Porsche et nomme un expert pour évaluer le préjudice…
Les deux associés de PGO, Laurent Skrzypczak et Olivier Baudoin sont plus qu'étonnés de cette décision car leur activité était sous licence donc à priori autorisée. En 2003, PGO a produit 37 exemplaires de la 356 et 25 sont prévus pour 2004. Par contre les associés de PGO sont plus sereins quant à l'avenir du Speedster qui a été développé en interne et dont 400 unités sont prévues pour cette année. La firme cévenole qui emploie un peu moins de 80 salariés va faire appel, son avenir en dépend… A suivre.