Salon de Los Angeles 2010
Vincent Desmonts le 18/11/2010
C'est un symbole : alors que s'ouvre du 19 au 28 novembre 2010 le salon de Los Angeles, General Motors est réintroduit à la bourse de New York. Un retour en fanfare pour le géant américain, qui a renoué avec les bénéfices ces trois derniers mois, après avoir essuyé des pertes s'élevant à... 88 milliards de dollars.
À l'image de GM, les autres constructeurs américains retrouvent, sinon le sourire, du moins le moral. Ainsi, si Chrysler a perdu son indépendance depuis son rachat par Fiat, le soutien du constructeur italien lui permet tout simplement... d'envisager l'avenir !
Los Angeles, salon de la sortie de crise ? Certes pas : les analystes prévoient une année 2011 difficile des deux côtés de l'Atlantique. Il n'en reste pas moins que les constructeurs font flèche de tout bois et dévoilent sur les rives du Pacifique un véritable festival de nouveautés et concept-cars encore jamais vu à Los Angeles. Un feu d'artifice surprenant, à moins de deux mois d'un autre salon américain majeur, celui de Detroit. Les constructeurs semblent vouloir faire un pari : attirer les clients avec du rêve et de la nouveauté.
Une mission bien difficile, alors que la population américaine subit toujours un chômage galopant et des saisies immobilières qui continuent à bon train dans le sillage de la crise des subprimes...
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À l'image de GM, les autres constructeurs américains retrouvent, sinon le sourire, du moins le moral. Ainsi, si Chrysler a perdu son indépendance depuis son rachat par Fiat, le soutien du constructeur italien lui permet tout simplement... d'envisager l'avenir !
Los Angeles, salon de la sortie de crise ? Certes pas : les analystes prévoient une année 2011 difficile des deux côtés de l'Atlantique. Il n'en reste pas moins que les constructeurs font flèche de tout bois et dévoilent sur les rives du Pacifique un véritable festival de nouveautés et concept-cars encore jamais vu à Los Angeles. Un feu d'artifice surprenant, à moins de deux mois d'un autre salon américain majeur, celui de Detroit. Les constructeurs semblent vouloir faire un pari : attirer les clients avec du rêve et de la nouveauté.
Une mission bien difficile, alors que la population américaine subit toujours un chômage galopant et des saisies immobilières qui continuent à bon train dans le sillage de la crise des subprimes...