Goodwood Festival of Speed 2012
Frank Figuls le 12/09/2012
Du 29 juin au 1er juillet derniers, Goodwood était vraiment « the place to be » pour tous les passionnés d'automobile sous toutes ses formes. Comme chaque année, Lord March organisait sur ses terres le Goodwood Festival of Speed. Ce meeting rassemble grosso modo tout ce qui compte au moins 2 roues et qui roule, et même plus puisque des démonstrations aériennes faisaient partie intégrante du week-end.
Comme le mentionnait le programme, « ne soyez donc pas surpris si une voiture de rallye est suivie par un engin du Mans ». Le show était en effet constitué de rien moins que 20 plateaux auto (et 3 plateaux motos). Cette année, Lotus était invité d'honneur puisque 3 plateaux spécifiques étaient dédiés à la marque et son légendaire créateur Colin Chapman. Autres invités, Michelin et la Chevrolet Corvette, qui fêtait le 60ème anniversaire de la voiture de sport américaine la plus connue.
Nous ne détaillerons pas par le menu chaque plateau, les images rendant bien mieux compte de la diversité et de la richesse du Festival. Sachez néanmoins que tout ce qui a fait ou fait encore le succès du rallye, de l'endurance, des courses de « tourismes » ou des Grands Prix était au rendez-vous. Ajoutons encore quelques plateaux particuliers comme le « Pionnering Giants », avec de superbes autos du tout début du siècle (le vingtième !!), « Americana » qui présentait des engins des formules nord-américaines, ou « Pikes Peak » et ses monstres comme le Kenworth de 16 litres de cylindrée.
De nombreux pilotes avaient répondu présent à l'invitation de Lord March, comme (dans le désordre et pour n'en citer que quelques-uns) Tony Brooks, Jochen Mass, Emerson Fittipaldi, ou Alain Prost dont c'était la première apparition ici. Les pilotes modernes n'étaient pas en reste, vous en découvrirez d'ailleurs un certain nombre en action sur ces images.
Plusieurs constructeurs comme Renault, mais aussi Mercedes ou Lotus avaient apporté quelques merveilles de l'histoire, tout en profitant de l'aubaine pour afficher leur production la plus récente, voire en présenter quelques-unes en avant-première comme Jaguar.
Enfin, Michelin patronnait le Michelin Supercar Run, une brochette de voitures de sport et de prestige, dont certaines peu connues ou produites en toute petite série, mais avec pour point commun des motorisations à même de consommer du pneu…
Anciennes comme modernes, les 185.000 visiteurs enregistrés (c'est un record) ont donc eu droit à un spectacle fait d'un subtil mélange de bulles de champagne, de parfum de course automobile et d'odeur de gomme brûlée.
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Comme le mentionnait le programme, « ne soyez donc pas surpris si une voiture de rallye est suivie par un engin du Mans ». Le show était en effet constitué de rien moins que 20 plateaux auto (et 3 plateaux motos). Cette année, Lotus était invité d'honneur puisque 3 plateaux spécifiques étaient dédiés à la marque et son légendaire créateur Colin Chapman. Autres invités, Michelin et la Chevrolet Corvette, qui fêtait le 60ème anniversaire de la voiture de sport américaine la plus connue.
Nous ne détaillerons pas par le menu chaque plateau, les images rendant bien mieux compte de la diversité et de la richesse du Festival. Sachez néanmoins que tout ce qui a fait ou fait encore le succès du rallye, de l'endurance, des courses de « tourismes » ou des Grands Prix était au rendez-vous. Ajoutons encore quelques plateaux particuliers comme le « Pionnering Giants », avec de superbes autos du tout début du siècle (le vingtième !!), « Americana » qui présentait des engins des formules nord-américaines, ou « Pikes Peak » et ses monstres comme le Kenworth de 16 litres de cylindrée.
De nombreux pilotes avaient répondu présent à l'invitation de Lord March, comme (dans le désordre et pour n'en citer que quelques-uns) Tony Brooks, Jochen Mass, Emerson Fittipaldi, ou Alain Prost dont c'était la première apparition ici. Les pilotes modernes n'étaient pas en reste, vous en découvrirez d'ailleurs un certain nombre en action sur ces images.
Plusieurs constructeurs comme Renault, mais aussi Mercedes ou Lotus avaient apporté quelques merveilles de l'histoire, tout en profitant de l'aubaine pour afficher leur production la plus récente, voire en présenter quelques-unes en avant-première comme Jaguar.
Enfin, Michelin patronnait le Michelin Supercar Run, une brochette de voitures de sport et de prestige, dont certaines peu connues ou produites en toute petite série, mais avec pour point commun des motorisations à même de consommer du pneu…
Anciennes comme modernes, les 185.000 visiteurs enregistrés (c'est un record) ont donc eu droit à un spectacle fait d'un subtil mélange de bulles de champagne, de parfum de course automobile et d'odeur de gomme brûlée.