Avis JAGUAR XJS 4.0 L6 coupé 1994
16.9
—
20
Une excellente acquisition en 6 cylindres 4.0L.
par jajaguar
J’ai acheté ma XJS 4.0 L il y a bientôt 4 ans et ne l’ai pas un instant regretté; prix d’achat modeste, six en ligne souple, doux, velouté et facile à entretenir, fiabilité étonnante (contrairement aux pré-facelift et au parfois capricieux V12; merci Ford), cocon intérieur feutré et cosy, cuirs de qualité (option magnolia sur la mienne) et bois au tableau de bord, jolis cadrans (à partir de 1991) .
Certes, la ligne est un sujet de controverse mais force est de constater que si beaucoup trouvaient la XJ-S très laide à ses débuts, une majorité trouve la XJS racée et chic aujourd’hui. D'ailleurs, vous connaissez beaucoup d’auto qui, ayant inspiré une forte déception à leur sortie finissent leur carrière vingt et un an plus tard en vendant plus d’exemplaires que lors de leur année de lancement!...
Certes, il faut aimer cette auto de près de 4,80 m, à l’habitacle étriqué, où l’on est assis très bas, aux petites surfaces vitrées latérales, dépasser les places arrières dans lesquels il faut faire voyager uniquement des personnes que l’on déteste, retrouver les boutons de commandes joyeusement dispersés n’importe comment, mais... quand on roule... la vision sur le long capot bombé au centre à travers le petit parebrise est un petit bonheur.
Certes, l’auto est un peu lourde, la direction pas assez communicative, les suspensions trop molles…
Certes la boîte auto n’aide pas le six à aller vers des régimes plus élevés que pourtant il ne déteste pas (il fait un joli bruit au dessus de 4500 tr) même si la ZF4 des « late» XJS fait beaucoup mieux que la boîte 3 GM.
Cette auto dont la réputation a été ravagée par les dramatiques premières versions d’avant l’ère John Egan mérite beaucoup mieux ; elle suscite d’ailleurs un intérêt croissant dont atteste la côte montante des belles 4.0L.
Certes, la ligne est un sujet de controverse mais force est de constater que si beaucoup trouvaient la XJ-S très laide à ses débuts, une majorité trouve la XJS racée et chic aujourd’hui. D'ailleurs, vous connaissez beaucoup d’auto qui, ayant inspiré une forte déception à leur sortie finissent leur carrière vingt et un an plus tard en vendant plus d’exemplaires que lors de leur année de lancement!...
Certes, il faut aimer cette auto de près de 4,80 m, à l’habitacle étriqué, où l’on est assis très bas, aux petites surfaces vitrées latérales, dépasser les places arrières dans lesquels il faut faire voyager uniquement des personnes que l’on déteste, retrouver les boutons de commandes joyeusement dispersés n’importe comment, mais... quand on roule... la vision sur le long capot bombé au centre à travers le petit parebrise est un petit bonheur.
Certes, l’auto est un peu lourde, la direction pas assez communicative, les suspensions trop molles…
Certes la boîte auto n’aide pas le six à aller vers des régimes plus élevés que pourtant il ne déteste pas (il fait un joli bruit au dessus de 4500 tr) même si la ZF4 des « late» XJS fait beaucoup mieux que la boîte 3 GM.
Cette auto dont la réputation a été ravagée par les dramatiques premières versions d’avant l’ère John Egan mérite beaucoup mieux ; elle suscite d’ailleurs un intérêt croissant dont atteste la côte montante des belles 4.0L.
Ce véhicule : Je l'ai possédé
Période d'utilisation : de 1 à 5 ans
Fréquence d'utilisation : occasionnelle
Utilisation : Loisir - Promenade /
Période d'utilisation : de 1 à 5 ans
Fréquence d'utilisation : occasionnelle
Utilisation : Loisir - Promenade /
Sensations
Performance
Confort
Habitabilité
Fiabilité
Sécurité
Consommation
Entretien
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