Samuel Morand le 14/02/2019
Pour concevoir sa Vandal One, l'artisan américain installé dans le Michigan, a appliqué une recette bien connue d'autres constructeurs tels que Radical ou Briggs Automotive Company (BAC), en proposant une voiture ultra-légère (555 kg) dotée d'une aérodynamique optimisée, et embarquant un groupe propulseur à la généreuse cavalerie.
Conçue autour d'un châssis monocoque en fibre de carbone recouvert d'une carrosserie également réalisée dans ce matériau, la Vandal One affiche des courbes dignes d'une monoplace de Formula E ou d'un prototype LMP1, et embarque le groupe propulseur de la Honda Civic Type R, à savoir un bloc 4 cylindres 2.0 litres turbo développant ici 340ch (contre 320 ch pour la Civic Type R), et même 560 ch (à 9 000 trs/mn) dans sa déclinaison « R Edition ».
Associé à une boîte séquentielle à six rapports fournie par Sadev, une suspension dérivée de la Formule 1, un système de freinage surpuissant et les indispensables systèmes de sécurité, cette motorisation garantira à la Vandal One des performances de haute volée sur circuit, où le « Vandal Cloud » permettra aux propriétaires de cette monoplace d'enregistrer leurs données télémétriques, leurs réglages et leurs vidéos embarquées.
La Vandal One est proposée en 50 exemplaires dans sa version « Launch Edition », et accessible à partir de 119 700 $ hors taxes (précommande requise).