Samuel Morand le 31/12/2020
Pas moins de six années de travail ont été nécessaires au constructeur japonais depuis les premières études du projet, pour le mener à son terme avec le lancement en production des cinquante exemplaires de l'Aspark Owl (le hibou en français), à Turin, en Italie, avec la collaboration de Manifattura Automobili Torino. Mais le résultat final valait bien cette longue gestation.
La Supercar japonaise construite autour d'un châssis monocoque en fibre de carbone ultra-léger (120 kg), abrite sous sa carrosserie réalisée en plastique renforcé de carbone et d'acier, un groupe propulseur composé de quatre moteurs électriques développant au total jusqu'à 2 012 ch et 2 000 Nm, alimenté par une batterie lithium-ion de 64 kWh d'une puissance de 1 300 kW.
Ce package auquel s'associe une aérodynamique optimisée, garantit à l'Aspark Owl une autonomie de 450 km en cycle NEDC, mais aussi et surtout des performances impressionnantes et notamment un 0 à 96 km/h avalé en seulement 1.69 seconde (le 0 à 300 km/h est comblé en 10.6 secondes), ainsi qu'une vitesse de pointe de 400 km/h.
Sur les cinquante exemplaires de l'Aspark Owl promis à la production, dix d'entre eux sont destinés au marché américain, vingt sont destinés à l'Asie et vingt autres au marché au européen. Le carnet de commandes de l'Aspark Owl est ouvert, avec un prix de base fixé à 2.9 millions d'euros l'unité.
Info : Autoblog
Crédit photos : Aspark