Florian Champourlier le 13/01/2011
Tout d'abord, à l'extérieur, on constate que la calandre ressemble à s'y méprendre à celle du SLS AMG. Les phares avant, quant à eux, partagent leurs gênes avec le nouveau CLS. A noter qu'ils fonctionnent exclusivement avec des LED. Enfin, la face avant prise dans sa globalité, rappelle la mythique 190 SL, qui pour les passionnés fait figure de "première SLK" même si son toit n'était pas rigide.
A l'intérieur, le confort et le style sont de rigueur. Matériaux nobles, ergonomie et raffinement se combinent intelligemment avec quelques innovations se révélant utiles ou bien plaisantes. C'est le cas, entre autres, de la dernière génération de "l'Airscarf" Mercedes. Cette technologie est constituée de sortes d'écopes translucides situées derrière les arceaux, faisant écran, et protégeant les occupants du véhicule contre les remous et autres turbulences.
Mais le roadster SLK troisième du nom vient également avec quelque chose d'entièrement neuf : un toit panoramique électrochrome. D'une simple pression sur un bouton, le panneau de verre surplombant l'habitacle passe du transparent à une teinte sombre, et inversement. Ainsi, on peut profiter d'un ciel étoilé sans éprouver de sensation de froid, et à l'inverse, on peut disposer d'un écran lorsque le soleil se fait trop brûlant.
Enfin viennent les questions d'ordre mécanique. De ce côté là, pas de surprise, on retrouve bien les blocs développés précédemment pour les classes C. Exit donc les moteurs à compresseur, qui laissent place au 1.8 litre de 184 chevaux pour le SLK 200 Bluefficiency, à sa version 204 chevaux pour le SLK 250, et enfin au V6 3.5 qui atteint les 305 ch pour le SLK 350. En ce qui concerne les tarifs, Mercedes propose son SLK aux clients allemands à des tarifs allant de 38.675 € pour le premier modèle jusqu'à 52.300 € pour le plus puissant.