Olivier Thomas le 10/10/2013
Le marché automobile italien est en pleine crise depuis 2007. Les constructeurs, même italiens, qui essaient de réduire leurs coûts, n'ont donc pas vu l'intérêt de se déplacer pour l'unique salon auto transalpin.
Pour rappel, le salon de Bologne 2012 n'avait attiré qu'une centaine de participants et n'avait proposé que 18 présentations de véhicules, contre un millier de participants et plusieurs dizaines de présentations pour le salon de Francfort 2013. Triste nouvelle pour les salons qui n'ont pas la renommée de ceux de Paris, Genève ou Shanghai...