Olivier Thomas le 19/06/2013
La NHTSA exhortait Chrysler à rappeler plusieurs millions de Jeep (des Grand Cherokee produits entre 1993 et 2004 et des Liberty mises sur le marché entre 2002 et 2007) à cause d'un risque d'incendie. L'agence américaine invoquait des cas d'accidents graves ou mortels suite à l'inflammation du réservoir d'essence après un choc arrière.
Mais Chrysler contestait le rapport de la NHTSA, refusant d'admettre un éventuel problème sur les modèles incriminés, et donc de lancer le rappel. Le constructeur américain fait maintenant marche arrière, indiquant vouloir « répondre aux inquiétudes de ses clients ». Tout en refusant le terme de « rappel », préférant évoquer une « campagne volontaire ». Les apparences sont-elles sauves pour autant ?