Samuel Morand le 09/05/2019
Stephen Bayley, critique international qui a présidé à cette réunion, s'est entouré de Flavio Manzoni, le responsable du design de Ferrari, et de Daniel Collin, CEO d'Amira Diamonds Group et grand amateur de la marque italienne, pour mener à bien ce projet.
Le concept d'intemporalité (« timeless ») a servi de point de départ à la constitution de cette exposition, élément fondamental dans le dessin de chaque modèle Ferrari : tous sont en effet sensés traverser le temps avec une égale élégance, sans perdre leur capacité d'attraction.
Les mots « extraordinaire », « rare » ou encore « exclusif », ont également guidé les créateur de cette exposition, qui ont ainsi réuni des modèles 166 Inter (1948) et 750 Monza (1954) reflétant le boom de l'après-guerre, une 250 California de 1957 représentant le Grand Tourer ultime, ou encore une rare 250 GTO de 1962, une modèle qui figura parmi les véhicules les plus appréciés en compétition à l'époque.
Des modèles plus récents tels que la California de 2008, la GTC4Lusso (2016) ou encore la superbe Monza SP1, réinterprétation moderne des barquettes des fifties et sixties, sont enfin également présents sur cette exposition qui mérite sans aucun doute la visite.