Vincent Desmonts le 05/09/2019
Vilipendé par les pouvoirs publics, menacé d'interdiction dans une large partie de l'agglomération parisienne à l'horizon 2024, le diesel n'a décidément plus la cote. Les automobilistes lui préfèrent désormais l'essence (58,8 % des immatriculations sur les huit premiers mois, contre 54% sur la même période l'an dernier), voire les hybrides (5,3% contre 4,5%). Les ventes d'électriques restent marginales (1,8% du marché depuis le début de l'année), même si l'arrivée d'un grand nombre de nouveautés (Peugeot e208, nouvelle Renault Zoe, Volkswagen ID.3...) devrait changer la donne en 2020.
Notez enfin que le marché français connaît une légère décrue depuis le début de l'année, à -1,5%. Au total, 1 788 109 véhicules particuliers et utilitaires légers ont été immatriculés dans l'Hexagone depuis le 1er janvier.
Photo : © Shell