Samuel Morand le 10/03/2022
Les amateurs de belles automobiles qui s'étaient réunis en nombre lors de l'édition 2019 de Chantilly Arts & Élégance (plus de 19 000 spectateurs présents), devraient apprécier le programme mis en place par Peter Auto pour cette année 2022 : pas moins de quinze classes seront présentes aux côtés des deux classes mises en place en l'honneur du centenaire des 24 Heures du Mans (« La Légende des 24 Heures du Mans : Vitesse & aérodynamisme sur les Hunaudières », et « La Légende des 24 Heures du Mans : la course à l'indice de performance »), que l'Automobile Club de l'Ouest célébrera en 2023.
De compétition, il sera d'ailleurs encore question avec une classe réservée à Alpine et intitulée « Alpine : Les voitures de Course », et une autre présentée sous le nom de « Les voitures de course de 1905-1925 », tandis que la classe « Hommage à Betty : Les voitures de sport américaines ouvertes » s'intéressera quant à elle aux modèles US.
Le carrossier Roland D'Ieteren sera également mis à l'honneur à travers trois classes célébrant la carrosserie Touring (Avant-guerre, Après-guerre et les voitures depuis les années 2000), Bugatti fera l'objet d'une classe baptisée « Bugatti, La Renaissance », et un focus sera également proposé sur la marque espagnole Hispano-Suiza (« Une grande marque disparue : Hispano-Suiza ») et sur le constructeur italien De Tomaso.
Enfin aux côtés des deux classes « Les voitures en état d'origine » (Avant-Guerre et Après-Guerre), et de la catégorie « Les barquettes : passé, présent, futur », « Les voitures Pop de 1968 à 1980 » devraient réjouir les amateurs de modèles insolites tandis que les cinéphiles attendront avec impatience de découvrir les voitures de la classe « Les voitures de Jean-Paul Belmondo ».
La quinzième classe au programme de ce Concours d'État 2022 rendra enfin hommage à la marque Bentley, et plus précisément à son modèle Continental dont on fête cette année le 70ème anniversaire.
Chantilly Arts & Élégance se tiendra le 25 septembre prochain au domaine de Chantilly.
Crédit photo : Mathieu Bonnevie