Bugatti Chiron : une assistance unique digne de la F1
Samuel Morand le 17/04/2018
Initié avec la Bugatti Veyron, le système de télémétrie pour véhicule de série développé par le constructeur de Molsheim, atteint aujourd'hui un niveau de sophistication digne de la Formule 1, pour le plus grand bénéfice des clients de la marque.
Grâce à ce système de télémétrie high-tech embarqué dans la nouvelle Chiron, et s'appuyant principalement sur le réseau de téléphonie mobile, chaque véhicule est relié 24H/24 au quartier général de Bugatti basé à Molsheim, en Alsace, où un technicien peut a tout moment fournir une assistance par télédiagnostic en temps réel.
Que ce soit pour prévenir le client que l'un des pneumatiques de sa Chiron est sous gonflé, ou pour intervenir sur un problème plus sérieux nécessitant l'envoi d'un « flying doctor » auprès de ce même client et de son véhicule (trois techniciens hautement qualifiés se répartissent les zones Europe/Russie, Moyen-Orient et Asie/Pacifique, Amérique du Nord), toutes les données relatives au bon fonctionnement de la Supercar sont analysées en temps réel pour prévenir ou solutionner tout problème.
Ce système surveille en effet près de 10 000 signaux qui concernent tous les organes et éléments De la Chiron, le traitement des données en temps réel étant quant à lui une première du genre puisque cette technologie était jusqu'ici réservée à la F1 et au championnat allemand DTM.
« Nos clients exigent des prestations personnalisées dans tous les aspects de leur vie quotidienne », explique Hendrik Malinowski, le directeur des ventes et directeur d'exploitation chez Bugatti Automobiles S.A.S. à Molsheim. « Et pour leurs véhicules ou leur collection de voitures, ils attendent également un service de qualité. Et c'est une fois encore un terrain sur lequel Bugatti va plus loin que les autres. Grâce à notre système de télémétrie, nous sommes en mesure d'apporter à nos clients toute l'assistance technique dont ils ont besoin pour leur Bugatti, à toute heure du jour et de la nuit, s'il le faut. »