Loïc Bailliard le 18/10/2010
Échangeant déjà des motorisations essence et diesel, les deux groupes se concerteront donc à l'avenir pour l'achat de matières premières et le développement de systèmes d'hybridations pour leurs véhicules. Un procédé qui a bien entendu pour objectif de réaliser des économies d'échelle, mais également de réduire les temps d'attentes avant d'être en mesure de commercialiser des modèles hybrides.
BMW pourrait même profiter de l'avance que possède aujourd'hui Peugeot en étant le premier constructeur à produire un diesel hybride.
Si une lettre d'intention a été signée, aucun des deux groupes ne communique sur les sommes qui seront engagées par les constructeurs.