Olivier Thomas le 18/11/2013
Cette progression ne trouve pas son explication du côté des ventes, qui restent stables, avec 5 264 véhicules vendus depuis janvier. En 2012, Ferrari avait enregistré un volume de ventes historiques, atteignant 7 318 livraisons de voitures. Des ventes qui sont dopées par le Moyen Orient (+ 40 %), le Japon (+ 17 %), la Grande-Bretagne (+ 15 %) et les États-Unis et le Canada (+ 8 %). Contrairement à beaucoup d'autres constructeurs, la marque au Cheval cabré voit cependant ses parts de marché reculer en Chine.
Outre un bénéfice net et un bénéfice commercial en hausse, Ferrari peut se targuer d'un niveau de trésorerie jamais atteint, avec 1,3 milliard d'euros. Ces très bons chiffres s'expliquent par la part plus importante prise par les modèles V12 et la F12 dans le volume des ventes, ainsi que par le recours de plus en plus fréquent de la part des clients à la personnalisation ou au service de restauration.