Cyrielle Anne Renault le 28/04/2011
Comme tous ses camarades fabricant des voitures de sport et de luxe, Luca di Montezemolo compte sur les marchés émergeants comme la Chine, l'Inde ou encore l'Amérique latine pour gonfler ses résultats. « Il y a un gros potentiel de croissance là-bas » a justement fait remarqué le patron de Ferrari au magazine Motor und Sport.
C'est évidemment le marché chinois qui semble le plus prometteur à l'heure actuelle. Cette année le constructeur souhaite vendre 500 modèles contre 200 en 2010. La chine deviendra ainsi le troisième marché mondial de la marque, derrière les Etats-Unis et l'Allemagne.
Concernant l'introduction en Bourse de Ferrari, Fiat a indiqué que cette option était « toujours envisageable ».